Voici quelques exemples :
Brûlures, morsures, gifles, bousculades, des coups avec ou sans objets, tentatives d’étranglement, tentatives de meurtre, jets d’objet, immobilisation par la force…
Focus : « il est violent quand il a bu »
Le fait de consommer de l’alcool ou des stupéfiants peut faciliter le passage à l’acte, mais ce n’est pas une excuse, ni la raison des violences. Par ailleurs, la consommation d’alcool (ou de stupéfiants) peut-être considérée comme une circonstance aggravante des violences commises.
Votre partenaire ou ex-partenaire est le seul responsable des violences. Beaucoup de gens boivent et ne sont pas violents, c’est la personne qui en consomme qui décide de ses actes. Même sous alcool, le cycle de la violence s’installe : après avoir trop bu, il vous promet de ne plus recommencer mais il ne tient pas parole. En « temps normal », il a sûrement des propos ou une attitude blessante envers vous, signes d’une violence qui s’installe (les différentes formes de violences). Pour cette raison, il est aussi important de comprendre qu’arrêter l’alcool ou être soigné d’un problème d’alcoolisme, n’est pas une garantie que les violences vont s’arrêter.