Détecter la situation de violence
1 – Poser directement la question Il est recommandé de poser directement la question à toutes les femmes que vous êtes amenés à accueillir, orienter,
Chaque professionnel a un rôle à jouer dans la limite de ses compétences professionnelles. Il n’existe aucune solution « clé en main » pour stopper les violences conjugales, c’est pourquoi le travail partenarial et pluridisciplinaire est essentiel.
Votre rôle, quelque soit le métier que vous exercez, est d’accueillir et d’écouter les femmes avec bienveillance, de respecter leurs choix et de les orienter vers les différents partenaires existants.
Les principes clefs restent les mêmes pour tout professionnel (« Je suis un professionnel ») mais en tant que travailleur social, vous êtes le/la plus à même de lever les freins qui empêchent la victime de sortir des violences, grâce notamment, à votre réseau professionnel pluridisciplinaire.
En cas de doutes dans la marche à suivre, n’hésitez pas à contacter L’Arbre Fromager au 0594 38 05 05
Les principes clefs restent les mêmes pour tout professionnel (« je suis un professionnel ») mais certains éléments dans le repérage et la prise en charge des femmes victimes de violences conjugales sont propres au domaine de la santé.
1 – Poser directement la question Il est recommandé de poser directement la question à toutes les femmes que vous êtes amenés à accueillir, orienter,
Il est primordial d’expliciter la demande de la femme et qu’elle décide par elle-même de ce qu’elle souhaite faire. Tout d’abord, rassurez-la : il est important d’aider la
➔ TOUTES LES SITUATIONS DE VIOLENCES CONJUGALES NE SONT PAS DES URGENCES ! Voici les éléments à questionner qui vous permettront d’évaluer la situation de violences
La priorité est d’agir selon vos compétences et d’orienter la victime vers les partenaires médico-sociaux et les forces de l’ordre en fonction de ses besoins (lien vers
1 – Poser directement la question La meilleure des questions est celle que l’on se sent capable de poser. Vous pouvez préciser à la patiente que
Professionnels de santé, policiers, gendarmes, magistrats, Centre d’informations, travailleurs sociaux et association.